Revue TYPES 5 - Paroles d’hommes

Carnet de bal

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Revue TYPES 5 - Paroles d’hommes - 1983

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Carnet de bal

Du bal du samedi soir aux fast-food, des " Teppaz " aux chaînes hi-fi, des petits kirs aux gin-fizz, se répertorient le désir, ses appels, ses rites, ses fringues... qui évoluent au gré de l'histoire. Le peurs sont moins pesantes et pourtant il y a toujours des viols. Les dragues sont plus subtiles et pourtant il y a toujours des discours stéréotypés et l'idée, bien ancrée pour certains, qu'" une femme n'est que... " Les rencontres sont moins rituelles, pourtant beaucoup raisonnent encore en termes de tableau de chasse, de collection. La sexualité perd des tabous, mais gagne des normes qui s'affichent avec des hauts et des bas à enlever, sur les murs et sous les grillages des panneaux de pub.

Rencontrons-nous des femmes individues ou les femmes-images des représentations virilo-sophistiquées ? A partir de cette interrogation, nous avons constaté nos décalages : entre l'emmerdeur et le séducteur, entre les regards lourds de conditionnements et ceux confiants de la connivence, entre demander et insister, etc. Nos petites usines à fantasmes voudraient produire des sentiments et des rencontres avec les femmes sans le primat du sexe obligatoire sans la peur (et sans reproches...) de perdre. Pourtant la réalité et ses petits matins sont parfois difficiles. A preuve : la jalousie demeure une morsure que femmes et hommes s'infligent et qui marque leurs histoires intimes.

De l'emmerdeur au séducteur, il y a le désireur

Les deux types sont appuyés sur la vitrine devant le Prisu. Ils glandent, les mains dans les poches de leurs blousons. Ils regardent les filles et laissent filer le temps. Qu'espèrent-ils ? Une femme rentre dans le magasin. Au moment où elle pousse la porte, le plus grand se penche vers elle et lui glisse à l'oreille : " Tu couches ? " Elle ne se retourne même pas et disparaît à l'intérieur. Le grand a repris sa position. Dommage elle n'a rien dit. Quand elles protestent les deux mecs éclatent de rire, tellement contents de leur effet. Combien sont-ils qui, sûrs de la propriété collective des hommes sur les femmes, ne cessent de leur glisser des petits mots salaces ou de lancer des clins d'œils appuyés ? Ce contact stupide avec les femmes ne peut qu'accentuer leur inexprimable et constante frustration. Qui sommes-nous pour que ce désir des femmes conduise les plus malheureux d'entre nous à être si bêtes ?

Bien sûr, le plus difficile c'est de la rencontrer !

T'as de beaux yeux, tu sais !

Le désir sexuel hante les rues. Les regards des hommes et des femmes se croisent lamentablement sans presque jamais s'arrêter. Parfois certains (certaines) prennent un risque. Non pas le risque de se faire rembarrer, mais le risque d'importuner. Toutes les femmes racontent leur profonde lassitude de ces interpellations continuelles. " Et pourtant ça marche ", me dit René. Pendant une période de sa vie, il draguait dans la rue. Aujourd'hui il explique un peu son expérience : " Il faut surveiller le hasard de croiser une femme disponible à une rencontre. Bien sûr le mec qui arrive à côté d'une femme qui marche dans la rue, et qui lui parle de la météo ou qui lui dit "t'as de beaux yeux tu sais", n'a aucune chance. Il est un emmerdeur de plus. Il faut une occasion. J'ai croisé des quantités de femmes qui m'auraient plu sans jamais leur adresser la parole. Mais si un événement dans un café, dans la rue, dans le bus, fait qu'on sort de la monotonie habituelle, j'en profite pour entrer en contact avec cette femme. "

Chasseur, soyez sur vos gardes. Vous voici muni d'un mode d'emploi. Car ainsi il y aurait une bonne drague. Celle qui donne une chance au lapin.

Il y a une dizaine d'années, s'adressant aux hommes, le mouvement féministe ironisait sur ces rencontres des rues : " Est-ce que les hommes que vous connaissez, vous les avez rencontrés dans les rues ? "

Saumon et vodka et...

Évidemment, il est plus élégant de fréquenter des soirées où l'on fait des rencontres délicates et agréables : dîner en ville, vins fins, séduction sous lumière tamisée.

Petite histoire vraie : chez des amis elle rencontre ce type une ou deux fois. Puis ils sympathisent et se promettent de passer la soirée de Mercredi ensemble. Jour J. elle se prépare à aller au resto avec lui. Elle se pomponne et garnit son porte-monnaie, parce qu'une jeune fille moderne partage. Il vient la chercher. Et crac ! Il arrive avec du saumon et de la vodka. Voilà qui est chic. L'alcool aidant, la soirée se prolonge. Il reste. Ils passeront la nuit ensemble.

Belle histoire. Non ?

Avec un peu d'idées et un peu d'argent, on peut facilement mettre en scène son désir et devenir un charmant séducteur.

Mais, de l'emmerdeur au séducteur, il y a toujours au plus profond d'eux ce désir de rencontrer des femmes.

Bien sûr, nous détestons la bêtise des hommes qui croient pouvoir imposer leur désir à des femmes en les importunant dans la rue ou dans une soirée. Et il faut bien reconnaître que cette rue ou cette soirée peuvent être le lieu d'une rencontre agréable, d'un moment de plaisir et devenir parfois une merveilleuse histoire d'amour. Ce qui fait la différence entre ces deux " dragues " pourrait être ténu : il s'agit simplement du respect de l'autre.

Draguer, rencontrer, séduire, tous ces mots couvrent une intention sexuelle potentielle. Si la rencontre se fait il s'agit ensuite d'être pleinement soi-même pour que se crée une connivence qui laisse à ce potentiel la possibilité d'éclater. L'invité qui arrive avec son saumon et sa vodka force sans doute un peu les choses. Il cherche à créer une situation favorable à l'expression de son désir, et à rendre sa partenaire complice de son coup de force. Mais il peut échouer. Si le charme n'opère pas, il rentrera chez lui tout seul.

Face à un homme, une femme jouera un jeu analogue (avec d'autres cartes sans doute ?) Hommes et femmes ont le désir de rencontrer d'autres êtres, de se faire connaître, d'aimer et d'être aimé. Mais ce qui est peut-être spécifiquement masculin, c'est cette sorte de nécessité de se faire reconnaître non pas par une, mais par toutes les femmes

   

Clair obscur du désir

Récemment, les journaux ont relaté l'affaire Pascale X, licenciée de son travail pour cause de trouble commercial, car elle ne portait pas de soutien-gorge sous son chemisier transparent.

De nombreux commentaires ont été faits. Les uns se plaçant d'un point de vue sociologique, les autres d'un point de vue juridique, d'autres encore peut-être même psychanalytique.

Personnellement, j'aimerais aborder ce problème sous un aspect différent : celui du désir masculin et de l'attitude des uns (unes) et des autres face à ce désir. C'est le point clé ; et il est remarquable que les médias l'aient laissé de côté : probablement " trop risqué ".

Je rapprocherai cette situation de celle de la femme aux seins nus sur la plage, de la femme en super mini-jupe assise en face de moi dans le métro, des publicités vantant tel ou tel produit avec une superbe paire de seins ou de fesses ou de cuisses ou autres morceaux de femme.

L'élément commun ? l'utilisation de l'univers du désir masculin et l'absence de place laissée à ce désir.

Le visuel joue un rôle primordial dans notre désir. Il semble que nous réagissons instantanément au petit bout de peau entrevu, à la jupe fendue montrant une cuisse, à la poitrine moulée dans son pull. Il suffit de se promener (menteur, va !) dans la rue St Denis pour constater que le critère du choix de la prostituée par le client est son image " extérieure " et non pas son physique.

Sachant cela, on comprendra aisément que la femme se promenant les seins nus sur la place exacerbe notre désir, que les affiches du type " demain, j'enlève le haut " nous voient insupportables, que cette époque de " libération sexuelle " nous sollicite constamment. Et quant à l'affaire Pascale X, je peux dire, pour l'avoir vécu dans mon travail, que cette situation n'est absolument pas évidente. On pourra, bien sûr, discuter de longues heures sur l'origine du désir... biologique ?... sociologique ?..., constater avec angoisse qu'une parcelle de patriarcat, oui, là, tout au fond de nous, existe... sans que cela change quelque chose au quotidien.

Et, en définitive, ce désir n'est pas accepté en tant que tel. Il est le plus souvent rejeté. Je sais bien que l'une des raisons vient justement de l'expression autoritaire de ce désir. L'homme patriarcal a toujours pensé que son désir devait être satisfait et que fort de sa position privilégiée dans la société, il s'approprie par la violence le corps de l'autre. Ceci explique la main aux fesses dans le métro, le viol de l'auto-stoppeuse par ce père de famille. Je dis " explique ", et non " légitime ".

Mais essayez simplement d'exprimer ce désir différemment, le résultat est sensiblement le même. On vous traite de salaud, de pervers, de frustré (ceci est par ailleurs vrai, mais pas plus que l'ensemble de la société). Oh ! ce n'est pas forcément dit, mais l'attitude du corps vous le fait sentir.

D'autres ont résolu le problème en niant purement et simplement le désir. C'est l'établissement des relations copain-copine. Il est de plus en plus répandu d'entendre qui faire l'apologie des relations amicales, qui celle des relations boys-scouts-z-avec-laguitare-z-autour-du-feu " youkaidi-youkaida ". Bref, des relations où le désir est occulté, où le sexuel est hors-la-loi, où l'identité sexuelle n'a plus cours. Cette solution ne me convient pas, non, merci, c'est mortel.

J'en connais qui préconiseront le port de longues et vastes robes, de tchadors (si, si, cela se fait...) et autres " gracieusetés ", ou de demander à ces femmes de rester chez elles au foyer au lieu d'agresser ces pauvres hommes. Solution de l'autruche...

Il est facile (hypocrite ?) de nous demander de faire comme si de rien n'était ou de regarder ailleurs (réponse de Pascale X), d'autant plus que la part de l'inconscient de chacun joue un rôle non négligeable. Il est malhonnête de ne pas voir qu'il y a un problème majeur. Comment allons-nous le résoudre ? Il est urgent d'en débattre afin d 'avancer.

Patrick Bourseau

 

Attention les yeux !

Tissu trop tendu sur les fesses, corps comme découpé en quartiers par chaque couture, par chaque élastique, sous quelle pression commence...

" Meat rack ", (textuellement : étalage de viande) : USA, argot désignant les boîtes où l'on drague. Synonyme : Body shop (boutique de corps).

... à s'extruder l'obscène ? Où commence le malaise-voyeur, qui glisse en biais du désir à la répulsion, à la fascination du difforme ?

Mais aussi, fille qui passe, ton jean — un peu moulant — plonge dans une paire de chaussettes de danse en jacquard, érotico-rigolo, cheveux pas sérieux, yeux non plus, attrapés un instant, petit sourire en coin,...

— C'est vrai que la mode mini revient, mais " aménagée ". Parce que ceux qui font la mode savent bien qu'on n'accepterait plus...

— Tu veux dire les collants en laine. C'est bandant aussi, non ?

— Mais je ne le sens pas pareil. Je crois que ça c'est en rapport avec la chair, montrée ou pas.

Une amie

... pfffttt..., disparue ! C'est tout, c'est rien, c'est bien, bout de sourire qui reste à flotter au coin de mes lèvres à moi, bon souvenir, espoir soudain que la rue ne soit plus ce lieu froid, vide, de transit, d'absence, petite entorse à la bonne éducation, moi je fais (mes rencontres) où on me dit de (les) faire, boum, club, photo-club, delta-club, tennis-club, milit'club, t'as ta carte ?, lieux codés...

— A soixante-quinze ans, je dirai encore cette phrase : Je peux marcher avec toi ? "

" Confession d'un dragueur ",

un vieux Marie-Claire.

... C'est pas qu'elle n'ait pas été codée aussi, cette rencontre, au moins son déclic, c'était bien au tout début une forme, un artifice, c'était bien un corps morcelé, exactement dans cet ordre-là, chaussettes puis jambes puis cheveux puis yeux, qui avaient ouvert pour un petit moment ma coquille de citadin pressé. Non vraiment je n'ai jamais espéré m'en tirer à si bon compte, les regards clairs d'un côté, les regards louches de l'autre. Le plus souvent, ce serait ni plus ni moins que ça, un peu de surprise, du plaisir mêlé de désir, de la partie et du tout, de l'esthète et du voyeur, de l'image qu'on s'approprie et du souhait d'une connivence, seulement voilà la connivence, elle, n'y est pas. Soit qu'elle ait été chassée par la peur, usée par la demande, soit...

— C'est... Un harcèlement sexuel. Des fois, à la fin de la fin de la journée, t'en as vraiment marre. T'as envie de t'habiller moche, sale, exprès.

— Juste pour fuir le regard

— Oui, le regard... et le souci de ce regard dans ta tête !

La même amie

...que je n'ose pas aller la chercher, soit très simplement que cette passante qui passe pense à autre chose, qu'elle n'ait pas envie.

Alors, si ce cadeau que vous nous faites ça et là d'une silhouette, d'une voix, d'un regard, ou d'une transparence, ou de cette façon superbe et heureuse que vous avez parfois d'être là, d'emplir d'irrespect un wagon de métro, cadeau d'images en mémoire, d'ambiances, petits bouts de film au montage haché comme un Godard, si ce cadeau vous n'aviez pas envie de le faire, ou pas à moi, ou pas maintenant ?...

— C'est pas partout comme ça, tu sais. J'ai habité en Allemagne, et c'est différent.

— On te regarde pas ? Pas comme objet sexuel, en tout cas ?

— Si, sans doute... Mais on te le montre pas. Ce qui est chiant ici, c'est que les regards s'appuient, lourds, lourds !!

La même

... On ne s'en tirera pas non plus avec un : " C'est ton problème ! " — Si vous voulez pas qu'on voie vos jambes, vous avez qu'à pas les montrer, eh !!! — Montré(e) ou caché(e) nul(le) n'échappera au jugement, il faut toujours qu'elle soit — elle surtout — quelque chose, bien ou moche, bandante ou pisse-froid, elle n'a que le choix de la sauce à laquelle elle sera détaillée. Nous aussi, mais tellement moins...

C'est vrai pour les mecs aussi cette différence entre les pays latins et saxons. En Angleterre, tu as le droit de sortir mal habillé, mal rasé, et de ne pas sentir ce jugement peser sur toi. C'est agréable, c'est important.

Un ami...

...Corps objet, corps semi transparent comme une vitre dans un tunnel mal éclairé reflet tout à la fois du dehors de la mode, des fantasmes que les autres y projettent des conditionnements, et du dedans, de soi, faut-il pour se débarrasser de l'un, se priver de l'autre ?

Alors, si ça n'était pas la question du regard, mais de quel regard, me dis-je... Et mes yeux entièrement occupés — ça devient vite obsessionnel —...

— Tous ces hommes qui regardent à travers moi comme si j'étais transparente... J'ai l'impression de ne plus exister.

— Tu préfères les dragueurs de chez toi ?

— Viva Italia ? Si, c'est peut-être l'atavisme !!!

L'Islande en compagnie d'une italienne

...à regarder tout sauf elle, la nana, là, se libèrent un instant du quelconque reflet — encore ! — qu'ils fixaient tel le merlan moyen dans la vitre du RER. Instant d'espoir. Plaire n'est pas si désagréable, je sais bien moi-même suivant mon humeur jouer avec ça, colorer, érotiser mon corps, et c'est pas rien, tiens, un certain soir, si j'avais été d'une autre humeur, si je l'avais portée sur moi, est-ce qu'elle m'aurait abordé quand même, en sortant du ciné, " ça a l'air bête, ça ne se fait peut-être pas mais j'ai envie de te parler, voilà ? ". C'était pas sexuel, c'était pas non-sexuel non plus, on a parlé, oui, et puis on a fait l'amour et puis on a vécu ensemble...

...Ce qui va séduire dans la rue, ce n'est pas toi. Tu dois montrer que tu sais t'habiller que tu es intelligent, que tu as un métier. C'est une vérité très violente, très cruelle. Je ne suis jamais aimé pour ce que je voudrais. Quand je séduis dans la rue, c'est avec autre chose que ce que le SUIS.

Toujours le dragueur de Marie-Claire

...Parfois, j'ai honte de ne pas suivre plus souvent ton exemple, petite, j'ai honte de laisser la rue aux chasseurs de trous avec du poil autour, tristes et lourds, aux glands de tous acabits, je me dis que ça pourrait être autre chose, seulement voilà : Tu étais une femme, moi un homme, et c'était l'exception. Un ange passe, c'était le fantôme de la spontanéité. Et pour en revenir à l'inconnue du RER, là en face, comment oublier une seconde qu'elle est " mignonne ", que je suis le 53e à m'en apercevoir aujourd'hui, que je serais le 27e à la regarder nettement plus que les autres usagers du compartiment et le dix ou " douzième " à lui adresser la parole, alors en quoi mon regard serait-il moins agressant, en quoi serait-il plus " honnête " ? — C'est simple, jeune homme, avez-vous l'intention de l'épouser ? — Faudrait-il qu'il soit assexué — il ne l'est pas —, comme si c'était la seule façon de ne pas être louche ? et pourtant...

Mais elle le haïssait, car elle savait bien que c'était à son pucelage qu'il en voulait.

" Merlin le prophète ", XIIe siècle

...Pourtant, avec les femmes qu'on connaît, c'est facile, le désir ça se découpe pas, c'est des orteils aux neurones, fantasmes avec, ça coule de source, même si cette source-là c'est leur sexe... Ainsi ce plaisir que tu avais chez toi, douce, à être nue sous une robe, une jupe, mon regard ne le dérangeait pas, qu'il capte en secret ces images de toi réserves à bonheur comme, très exactement comme, hier là-haut sur le Puech Mouran je buvais la beauté presque douloureuse des lignes de crêtes boisées, ombres chinoises sur ombres chinoises jusqu'à l'horizon ocre, ou qu'il rencontre le tien, léger de sous-entendus vite convertis en emplois du temps chamboulés sur ton coussin-pouf-tapis-divan...

— " Tu aimes les femmes... " Elle m'avait dit ça, un après-midi, on rentrait d'une réunion du MLAC je crois, mais peut-être est-ce ma mémoire qui s'amuse déjà à se faire des légendes. Ça n'était ni une question ni un reproche, juste une affirmation tranquille, comme elle m'aurait dit " tu m'aimes ", et c'était exactement çà, en fait, elle et elles, elle PARCE QUE elles.

Alors ?... Faut-il pour autant qu'" elles " se résolvent en " elle " jusqu'à y disparaître et on n'en parle plus ? C'est une " solution " qui a au moins le mérite d'être bien " amortie ". Mais " elle ", dans tout ça ? Comment s'accommode-t-elle de toutes ces pensionnaires ?

Jean-Louis Viovy

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Revue TYPES  5 - Paroles d’hommes - 1983

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